Incontinence ou plaisir ?

Catégories : Diaper girl / Little girl
il y a 3 ans

Malgré mes 26 ans, le caoutchouc est resté depuis ma plus tendre enfance, une partie de moi-même. Je me souviens encore très bien du temps précédant l’âge scolaire. Jamais devenue propre, je mentirais maintenant en le prétendant, je dois plutôt dire : restée "sale" involontairement je passai toute mon enfance dans de vraies culottes en caoutchouc.

Comment j'en suis arrivée là ?

A chaque enfant on apprend aussi tôt que possible à ne plus faire dans sa culotte. De la même façon je suivis les directives de ma mère de contrôler mes sphincters de devant et de derrière et comme elle me félicitait chaque fois que je n’avais rien fait dans ma culotte, je fis des efforts pour rester propre même la nuit. Quand elle décida que je n'avais plus besoin de culotte en caoutchouc et que je ne devais plus en mettre, je remarquai alors combien elle me manquait surtout quand elle était pleine. Surtout, ne dites pas : "Elle est complètement folle. " Je peux vous assurer que déjà étant bébé, je me trouvais très bien dans ma culotte en caoutchouc et ne voulais jamais la quitter. Après que ma mère m'eut donc supprimée ma culotte en caoutchouc, je ressentis ce manque de bien être et je recommençai de nouveau à me mouiller et à ne plus contrôler mes intestins, d'abord la nuit et ensuite le jour, malgré les colères et moqueries de ma mère. Que lui restait-il alors, sinon m'emballer de nouveau dans des couches et dans ma culotte en caoutchouc bien aimée. Mais elle n'abandonna pour autant et me traîna de médecin en médecin.

Tous ces hommes de science constatèrent que mes deux sphincters étaient normaux mais n' arrivèrent pas cependant à la conclusion que je faisais volontairement dans ma culotte en caoutchouc. Truffée de bons conseils et de médicaments, je rentrai à la maison avec ma mère. Les bons conseils et les médicaments administrés pour la nuit n'ayant donné aucun résultat ( ce qui aurait du être si j'avais fait dans ma culotte volontairement et par plaisir), je fus autorisé par l'autorité médicale à remettre jour et nuit une culotte en caoutchouc.

Au cours des années qui précédèrent ma scolarité, ma mère et les médecins se résignèrent et reconnurent que je ne pouvais pas vivre sans cette culotte en caoutchouc. J'avoue honnêtement qu'il n'y avait pas d'autre solution et malgré mes nombreuses tentatives, il m'était pratiquement impossible de retenir mon urine et mon caca, et cela à l'époque d'aller à l'école. Les moqueries de mes camarades seraient arrivées à me faire renoncer à ma culotte en caoutchouc si cela avait été encore possible. Je cherchai bien à retenir mes excréments. Sans résultat et cela n'a pas changé aujourd'hui. Au début ça m'était franchement pénible, pendant les heures de gymnastique lorsque mes camarades au vestiaire voyaient que je ne portais pas seulement une culotte en caoutchouc mais que je devais la garder sous mes vêtements de gymnastique. Qui plus est lorsque la culotte était pleine. Mais comme l'être humain est connu pour être un animal qui s'habitue à tout, après quelques mois, ce fut presque naturel pour mes camarades de me voir vivre dans ma culotte en caoutchouc.

Durant cette période je fus même frappée par le plaisir que je prenais lorsque je mouillais ma culotte pendant mon déshabillage dans le vestiaire et que me tenant nue dans ma culotte en caoutchouc devant mes camarades, celles-ci pouvaient entendre le bruit de cascade de l'urine coulant dans la culotte et voir cette dernière se gonfler sous l'afflux du liquide. Ici se rejoignaient déjà la sexualité et le besoin du caoutchouc. J'avais grandi... Et tous mes camarades d'école, ainsi que les jeunes du voisinage me faisaient une chasse en règle. Malgré mes 16 ans, ma mère m'enveloppait toujours avec une grande indulgence dans mes couches et mes culottes en caoutchouc qu’elles avaient achetées entre temps dans un magasin spécialisé d'Hambourg.

Pour ne pas que ça se remarque, je mettais pour sortir une gaine culotte très collante par dessus ma culotte en caoutchouc et j'étais heureuse, d'arriver à l'orgasme sans le concours d'un homme, uniquement en remplissant ma culotte en caoutchouc.

Lucie

Merci pour je récit que j ai aimé .
Humm belle photo histoire
Naturellement ! L'art de transformer ses faiblesses en opportunité de plaisirs. Lecture sympa.
Belle histoire d'amour pour un pisseux en culote plastique jaime cela
Belle histoire et un beau parcours pour cette jeune Lucie... merci
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